Walter Bald, langue d'or

Deuxième perso de Nikolaï

Prénom : Walder Nom : Bald Pseudonyme : Langue d'Or

Cycles : 37 Genre : Homme Nationalité : Borrosif Faction : Aucune Statut social : Riche Emploi : Marchand/A eu un métier peu recommandable

Description physique

Waltder Bald est un homme qui commence à vieillir du haut de ses 37 cycles mais il semblerait que le grand nombre de ses voyages et la omniprésence de l'aventure à ses côtés l'ait conservé à un point impressionnant. Assez fin avec peu d'épaules et d'une taille moyenne, Walder n'en est pas moins un combattant redoutable, notamment au sabre. Ses longs cheveux châtains et son charme suffisant à faire son succès auprès des femmes, il rechigne à montrer ses talents d'escrimeurs. Il affiche en permanence un sourire narquois, comme si le monde était une vaste plaisanterie qu'il était seul à pouvoir saisir. Ses préférences en matière vestimentaires vont vers les modes du sud, tout en vêtements légers et élégants.

Description morale

Bien qu'ayant exercé dans une profession légèrement différente par le passé, Walter est naturellement fait pour être marchand. Sa gouaille et son charisme naturel lui attirent parfois des ennuis mais souvent cela lui sert pour ses affaires. Grande gueule devant l'éternel, on dit que sa langue est d'or tant il parvient, par la parole, à faire acheter n'importe quoi à n'importe qui. De plus, parfaitement non croyant, il ne possède aucune morale et aucun scrupule, ceci le conduisant naturellement à tenter d'arnaquer tous ses clients. Néanmoins, il fait partie de ces personnages indispensables à la société de part son gout immodéré pour l'aventure et les voyages. Ainsi, il fait régulièrement le trajet entre tous les royaumes connus pour y faire circuler les marchandises au niveau continental. Sans lui, point de fourrure pour l'empereur de Borrosif ou de Balphas pour tout ce qui y sont accros. Il va sans dire que la cupidité est évidente chez lui mais, avant tout, ce qu'il chérit le plus sont les plaisirs simples que la vie peut lui offrir et la perspective de nouveaux voyages. Peut on faire plus libre que lui? Seuls les dieux savent!

Histoire

Sang et Or sur les Mains Prologue "Mais casse toi pauv' débile!" "Attends laisse! C'est mon fils, il s'inquiète juste pour moi." "Hum...Ta maman va bien, abruti! Maintenant barre toi! J'aime pas faire ça avec du public!" Du haut de ses 15 cycles, Walter commençait à être blasé d'un tel spectacle. Voir sa mère culbuter par un vieil ivrogne, ca choque à 5 cycles, peut être un peu plus. Mais après ça devient juste une scène du quotidien, quelque chose de familier. Le jeune garçon se souvint de la première fois où un client avait voulu que ça soit lui qui passe dans le pieu. La Mama Keliande qui gérait le bordel lui avait foutu un coup de savate qui avait envoyé le type s'écraser contre le mur. Il avait fallu le porter en dehors tant il était sonné! Mama lui avait dit alors "Toutes celles qui sont ici l'ont choisies. Toi, t'as pas à donner de ton cul alors n'y pense même pas!" Sur le moment, il n'avait pas bien comprit mais le message était resté jusqu'à ce qu'il soit en âge de le faire. Vivre dans un bordel quand on est le fils d'une catin était bien plus avantageux qu'on pouvait le croire. Les filles étaient toutes aux petits soins de ce gosse qui devait être le seul homme de l'île à pas en vouloir qu'à leur seins. Bref, Walter ne se plaignait pas. Surtout quand il voyait comment vivait ses amis, des "tires-laines". Ils volaient les bourses dans la rue. Si ils étaient prit, c'était la mort assurée. Lui était presque un prince à côté d'eux. Pourtant ce jour là, il commençait à sentir qu'il ne voudrait pas rester là toute sa vie. Personne dans l'établissement ne s'y serait opposé mais lui même était fatigué de cette atmosphère chaude, de ces couleurs rouges et de ces cris de jouissance qui emplissaient le bordel à toutes les heures du jour et de la nuit. Il commençait à en être écœuré. Alors quand un grand type qui tenait plus d'un ours que d'un homme l'avait appelé à la taverne du coin pour s'asseoir à sa table, il n'avait pas su dire non. Tout chez l'inconnu intriguait Walter, sa grande barbe fournie, ses nombreux bijoux, ses vêtements d'étranger. Il s'était donc installé à la table de l'homme. Ce dernier avait vidé d'un trait une chope entière avant de lui jeter un regard intéressé et intimidant. "Alors mon gaillard? T'as quel âge? Laisse moi deviner...16 cycles non?" "...J'en ai 15." "Hoho! C'est que tu fais plus! Avec des bras solides comme tu as, tu mérite mieux que de passer ta vie dans ce trou à rats! Bon, autant aller directement au but : j'suis le Capitaine Dorian Bear, chef du navire pirate "La pourfendeuse" et je cherche des jeunes intéressés par l'aventure et le gain facile. Ca te tente?" Il aurait été impossible de lui résister. Il semblait si fort, si sur de lui...Walter eut l'impression d'avoir rencontré le père qu'il n'avait jamais eu mais toujours désiré. Tandis que dans le port où il vivait, il n'avait jamais rencontré que des ivrognes et des clochards, voilà qu'un inconnu venu de la grande et mystérieuse mer lui proposait de s'embarquer avec lui et de tout laisser tomber ici. De larguer toute cette crasse, cette boue et de le suivre. "Oui." Il aurait aimé dire un dernier au revoir à sa mère. Autrement il ne l'aurait pas dérangé en plein "travail". Mais là, il n'avait plus le temps, il lui fallait se dépêcher. Alors, il prit un fusain qui trainait à côté d'un registre et s'inscrit dans la colonne "absent" en écrivant tant bien que mal ces quelques mots "Adieu maman. Je t'aime." Accusé, levez vous! Le temps semblait passer à vitesse de tortue de mer dans ce grand tribunal de Borrosif dont ses juges étaient si fiers. Il fallait avouer que l'empire avait mit de grands moyens à sanctionner ses sujets. En ce lieu très fréquenté de Feamos la Glorieuse se côtoyaient des centaines de juristes, de témoins, d'accusés et de criminels condamnés. Le nombre de ces derniers montrait d'ailleurs assez clairement la sévérité de la Justice de Borrosif...Ca et la quantité de pendus sur les murailles de la cité. Le tribunal lui même, haut de 50 pieds au moins et aussi longs qu'un palais aurait pu être avait presque impressionné Walter lorsqu'il y avait été conduit, sous importante escorte et des chaînes aux pieds. Après vingts années de piraterie, de rapines, de meurtres, de parties de jambes en l'air forcées et de pillages, il avait enfin été capturé par les Borrosiens. L'anonymat avait fait sa fortune et sa sécurité, la célébrité l'avait perdu. Après qu'il ait coulé une galère militaire de Caelicia, l'empereur Acherich ne pouvait plus se permettre de le voir à nouveau en liberté. Une flotte de dix navires à ses trousses, il avait tenté de fuir durant plusieurs jours avant qu'une baisse du vent ne permette à ses poursuivants de le rattraper. La suite avait été un joyeux massacre dont il avait été l'unique survivant de son équipage. Néanmoins, son propre navire avait été préservé et serait surement vendu après sa propre condamnation à mort. Ce qui ne saurait plus tarder, ses juges étant visiblement pressé d'en finir. Un procès éclair, voilà ce qu'il avait obtenu. Une parodie de justice à dire vrai mais de toute manière, il se savait coupable. Quel sens y aurait il eu à lui concéder autant de droits à n'importe quel citoyen? Lui, l'obscur fils d'une putain des îles de l'ouest! Le pirate à la soif de sang et à l'avidité sans limite! L'esprit de liberté jusqu'à la moelle! Walter Bald, surnommé Le Fleau des Oceans, avait mit tout le temps qu'il lui restait à profit pour essayer d'accepter l'idée de la mort, ce qui lui était difficilement supportable. Pour un non-croyant comme lui, un mort ne pouvait s'attendre qu'à être effacé purement et simplement du monde dans lequel il avait vécu. Pas de paradis ni d'enfer, pas d'âme mais juste un tas de viande inerte qui finira bouffé par les corbeaux et les asticots. La mort comme finale, le sommeil comme entrainement. Son bourreau lui avait affirmé la veille, juste après lui avoir donné un rasoir, que sa condamnation serait effective le lendemain. Le pirate avait faillit s'étonner qu'on lui prête une lame alors que tous le savaient dangereux mais il dut bien le reconnaître, il serait incapable de s'évader, quand bien même il se débarrasserait des chaines qui l'entravaient aux poignets et aux chevilles. Le rasoir, le bain, les vêtements propres ; tout cela était destiné à lui rendre la stature de celui qu'il avait été pendant des années : le pirate meurtrier. Si les juges condamnaient un pauvre homme meurtrit et hagard, personne n'oserait se réjouir de cela. Mais si, dans ses derniers instants, le criminel mondial gardait dans ses yeux cette lueur qui effrayait tant les petits gens, alors ils auraient abattu un monstre, une légende. Et ils n'en seraient que d'avantage des héros aux yeux du peuple. Toutefois, à présent qu'il attendait les ultimes délibérations des juges, Walter commençait à s'ennuyer. Le jugement dernier tardait à tomber et la pauvre âme sur la balance se lassait de ce rituel maccabre. Avec autant de preuves, de témoins et des aveux qu'il avait signé et confirmé deux jours auparavant, comment ces juristes abrutis auraient il pu encore hésiter? Ils devaient se chamailler sur le châtiment à lui infliger. Walter espérait éviter la roue et le bucher. Que ca aille vite au moins. La pendaison gardait une certaine classe mais le mieux serait la décapitation par l'Empereur. Il mouillerait au moins de son sang une main royale. Quelle fin épique pour un pirate! Mais soudain, les portes s'ouvrirent en grand dans le fond de la salle et toute l'assemblée se leva. Les cinq juges entrèrent les uns après les autres, tous en robe rouge. Si ces enfoirés se refusaient à considérer leurs mains comme tachées de sang, au moins en avaient ils teint leurs vêtements. Au fond, ces "braves gens" n'étaient que des bourreaux déguisés dont la hache était leurs mots. Et enfin, ils allaient le décapiter. "Accusé, levez vous." Il tourna lentement la tête vers eux. Ils attendaient. Ils tenaient encore à ce protocole ridicule alors qu'ils parlaient de mettre fin à une vie humaine. Tous les regards étaient posés sur lui, Walter le savait. Raide comme un piquet, il se releva et les défia du regard, un léger sourire moqueur clairement affiché. "Avez vous quelque chose à dire avant que le verdict ne soit rendu? Sachez que vos paroles n'y changeront rien." "Une seule chose, votre honneur. Je tiens à remercier la cour de m'avoir accordé tant d'attention. Pour un fils de putain, ca n'est que trop de gloire d'être jugé par une si noble institution...Et je tiens juste à vous rappeler la seule leçon que m'ait apprit la vie: Everyone dies. Everything burns." Il avait fait exprès de s'exprimer en Borrosien. Cette phrase avait été sa formule de pirate durant des années. Elle était sa marque de fabrique, son cri de guerre. Et à peine l'eut il prononcé qu'un frisson parcourut la salle et que l'assurance des borrosiens disparut. Ils avaient craint ces mots trop longtemps pour pouvoir les oublier un jour... "Le tribunal vous déclare, à l'unanimité et en vertu de son autorité judiciaire et morale...Coupable! Vous êtes condamné...au bagne à perpétuité! Walter ouvrit de grands yeux effarés tandis que des murmures et quelques cris indignés montaient de la salle. Le bagne pouvait être un enfer, le jugement n'en était pas moins très souple. Trop souple pour un criminel comme lui. Pourtant, à voir la mine sérieuse et grave des juges, cette décision était véritable et, comme le voulait la tradition, inchangeable. Il allait garder sa tête et ses chaînes! "Venez. Ils vous attendent." Walter se leva de sa chaise, se massant encore les poignets à présent qu'il était libéré de ses chaînes. A la sortie du procès, tout était allé si vite...On l'avait conduit dans un dédale de couloirs et d'escaliers tandis que derrière lui le public de l'audience grondait de colère devant un jugement aussi laxiste. La vitesse à laquelle on le poussait était si rapide qu'après être tombé plusieurs fois, ses gardes lui avaient retiré ses chaînes aux pieds. Rien que cela était étonnant. Même des armoires à glace comme ses deux "protecteurs" devaient savoir qu'il était dangereux et enclins à s'esquiver dés qu'ils auraient le dos tourné. Mais il n'avait pas eu l'occasion d'essayer. On l'avait revêtu d'une longue cape grise juste avant de quitter les énormes tribunaux et même confié un cheval. Un de ceux de Calicia, grand et élancé, assez peu endurant mais très rapide...Parfaitement de quoi semer des poursuivants dans des ruelles comme celles de la ville où il se trouvait. Un seul regard du plus massif des limiers qui l'escortait suffit à lui faire comprendre qu'il n'aurait aucune chance...Et quelque chose lui intimait de rester avec eux. Une sorte d'intuition. Après environ une heure de trajet au pas, ils étaient arrivés au Haut Port. Quartier de marchants, négociants, armateurs...Aucun entrepots ni quais qui pourraient rendre le coin mal famé. Le bas port pouvait bien être le principal refuge des déchets de Borrosif, le haut port était lui l'un des plus beaux quartiers après ceux de la noblesse. Et un quartier d'ambitieux. Lorsque ses gardes lui intimèrent de descendre, il obéit sans poser de question. Pourtant, des centaines lui brulaient les lèvres. Pourquoi ici? Pourquoi pas au bagne? Pourquoi sortir si discrètement? Pourquoi avoir voyagé avec les capuchons rabattus? Mais il garda le silence. On allait surement lui répondre sous peu et un navigateur avait apprit à dompter son impatience. Ils le firent entrer dans une riche demeure construite à la mode Calicienne, un luxe à Borrosif, même dans ce quartier. Dés qu'il pénétra dans le hall d'entrée, ses yeux s'illuminèrent de part la convoitise que ce lieu éveillait chez lui. De l'Or, de l'Argent, des broderies, des œuvres d'arts...Tant d'opulence faillit le faire tomber à la renverse. On le fit s'asseoir dans un fauteuil recouvert d'un velours rouge, très rare et un serviteur monta précipitamment un escalier. Après qu'un de ses gardes lui eut retiré ses chaînes aux poignets, il attendait. Jusqu'à cet instant où le serviteur, revenu, lui intimait de le suivre. *Ils m'attendent...Qui? Si j'avais des amis aussi riches, je le saurais!* Une fois qu'il eut monté l'escalier, on le conduisit face à une lourde porte en chêne ouvragée. Le serviteur toqua une fois puis deux et, ouvrant légèrement la porte, lui fuit signe d'entrer. Walter ferma les yeux en entrant, aveuglé par le soleil qui se couchait et dont la lumière éclatante pénétrait dans toute la pièce. Au fond, un bureau massif recouvert d'un désordre typiquement marchant. Le long des murs, des meubles et des tableaux aussi beaux que chers, supposa t'il. Au sol, un tapis recouvert d'une peau d'ours blanc de Kamerlan, une rareté. Et derrière le bureau, deux hommes. Un assis, un debout qui le fixaient tout deux. "Bien le bonsoir monsieur Bald. Prenez donc un siège." Le pirate sentait la tension monter en lui. Sa vision du marchant s'en tenait à un homme petit, gros, à la mine avare mais bête et aux vêtements ridicules. Ces deux hommes en constituaient le parfait opposé. Grands et fins tout deux, ils avaient presque le même visage anguleux et froid au point que Walter se douta qu'ils étaient frère sinon frères jumeaux. Mais le plus angoissant était leur sourire. Carnassier au possible. De vrais requins. Pourtant, il n'hésita pas plus et avança pour prendre un des deux sièges qui trônaient devant le bureau. Aussitôt qu'il fut assis, l'un des deux alla ouvrir une armoire et en sortit trois verres ainsi qu'une bouteille qui semblait avoir couté plus cher que la peau d'ours elle même. L'autre ne desserra les lèvres que lorsque son frère les eut tous trois servit. "Je me présente, Hector Bauden. Et voici mon frère, Hassel Bauden. Peut être notre nom vous dit il quelque chose?" Quelle question! Une sueur froide était remonté le long du dos de Walter à la simple évocation de ce nom. Pendant des années, leurs navires avaient été ses proies favorites. Les Bauden étaient parmi les plus grands marchants de Borrosif et leur fortune ne connaissait pas de limite, à ce qu'on disait. En tant que pirate, attaquer un navire à ce nom permettait d'être assuré de repartir avec un butin énorme. Et se retrouver dans cette pièce face aux deux frères n'était surement pas bon pour lui... "Oui, bien sur que vous vous en rappelez. Vous nous avez fait perdre suffisamment d'argent pour cela, une petite fortune à vrai dire. Et comment l'avez vous dépensé? En femmes, en alcool, en drogue...Quelle pitié! Avec des revenus pareils et un peu de jugeote vous auriez pu devenir aussi riche que nous!" "Peut être. Mais c'est la liberté qui est mon bien le plus précieux, pas les pièces d'argent." "Nous, c'est justement cet argent que vous méprisez tant, en véritable poète! Et puisque c'est nous qui avons fournit à sa majesté la flotte qui vous a privé de votre liberté, considérez que nous sommes quittes! Après tant de ravages, il est temps de faire la paix." "...Que voulez vous dire?" "Ce que je veux dire, Walter, c'est que mon frère et moi voulons vous faire une offre. Que vous êtes libre de refuser mais dans ce cas, c'est le bagne qui vous attends. Et ça aurait été la corde si nous n'étions pas intervenu auprès des juges. En tant que pirate, vous nous avez causé beaucoup d'ennuis et des dommages considérables. C'est un gâchis insupportable. Vous avez des talents qui demandent à être bien mieux exploités. Monsieur, considérez que le pirate est mort le jour de votre capture. Abandonnez le pavillon noir et adoptez celui de Bauden. Devenez un marchant pour nous." "C'est une plaisanterie ou juste un piège?" "Aucun des deux. Vous connaissez les mers comme votre poche. Vous êtes l'un des meilleurs navigateurs du monde connu. Vous avez beaucoup de relations utiles un peu partout. Vous parlez aussi bien le Borrosien que le Kami et vous aimez l'argent et la liberté. Ce métier est fait pour vous." "Vous m'accordez la liberté et le pardon si je travaille sur vos ordres?" "Pas sous nos ordres. Pour nous. Le contrat est simple : Faites nous parvenir à chaque fin d'année une somme d'argent convenue et vous conserverez votre liberté, un navire, les surplus que vous aurez gagné et à la fin de votre vie et vous aurez droit à une demeure où finir vos jours. Hassel et moi nous fichons royalement de quelles sont vos méthodes. Ce qui compte c'est le chiffre! Et il me semble que vous avez tout à gagner et rien à perdre à présent." "C'est d'accord. Walter le pirate est mort en cet instant. Messieurs, puis je me permettre de nous proposer de boire à la santé de Walter le marchant?" "A votre santé!" Les trois verres tintèrent et Walter eut l'impression qu'il venait de signer un pacte avec le diable, tant il n'arrivait pas à voir de défaut à cette vie là. FIN

C'est dingue...

Tous les persos mecs ici aime les nanas... J'comprends pas... *PAN*

Il promet d'être intéressant aussi celui-là =)

*Me demandait quand est ce qu'on verrait un marin, pirate ou marchand... J'ai ma réponse =D*

(Re)bienvenue. Il y a un d à la fin de marchand =P

Corrigé. Je sais pas comment j'ai pu faire cette phote! x)

Ouais ... Nous non plus

Aispaisse di laittret !

*Sort*

Citation :

D'un blond éclatant, ses cheveux mi-longs éblouissent son entourage.

(by Afheim (scuse si j'écris mal le pseudo X_x...))

Citation :

Ses longs cheveux châtains et son charme suffisant à faire son succès auprès des femmes

Ah...tous ces hommes qui se complaisent dans leur beauté que je pourrais faire genre "insensible" à tout ça

Bon, cela mit de côté, bienvenue quand même ^__^

La beauté des hommes ne se juge qu'avec ce qu'ils ont dans le pantalon de toute façon.

...

*Je suis dehors*

Encore faut-il le voir, ce qu'il y a dans le pantalon. Et pour les Ecossais tu fais comment ? 8D
(Le premier qui me dit qu'un Ecossais n'est pas un mec a rendez vous avec William Wallace, Robert the Bruce, et toute la team !)

Bref, tous les hommes sont beaux, ou pas, hein ! XD C'facile de se déclarer beau, faut voir ce que les nanas en pensent, après :3
Bref, rebienvenue à toi, tout est correct, j'te valide !

Les Écossais c't'encore plus simple, tu soulève la jupe u_u'

'Fin de toute façon, on va pas en faire un débat, c'juste pour déconner x')

Rebienvenue à ce perso :3

Par contre, j'étais vraiment crevée hier faut croire... J'ai vu que c'était marqué à suivre donc je croyais que l'histoire n'était pas finie -sors-

Au moins, Chimère a validé le perso, c'est le principal xD

Elle est pas finie mais Chimère a accepté de le valid ^^

2ème chapitre! Yaarrrrrr!

Saeko-----> "Entourage" Qui te dit qu'il est pas gay mon perso ?

Chimère------> William Wallace, c'est le mec qui s'est fait couper la tête ?

Wallace il s'est fait couper la tête, les membres (ceux ci éparpillés en angleterrre) et avant il avait eu droit à la semi-pendaison (les souffrances sans la mort) et à l'émasculation.

Edouard le Sec était pas un bisounours.

Bah, il a le droit de s'amuser.

Histoire finie!

Une fin bien sympa !
Bon, t'es déjà validé, donc... XD
Bon RP !